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TRIPS AGREEMENT --- DROITS D'AUTEUR --- BREVET --- DROIT DES MARQUES --- DROIT DES MARQUES --- INTERNET --- DESIGN INDUSTRIEL --- CONCURRENCE DELOYALE --- SECRETS DE FABRICATION --- ASPECTS JURIDIQUES --- NOMS DE DOMAINE
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DROIT ANGLO-SAXON --- CYBERSPACE --- COPYRIGHT --- DROIT DES MARQUES --- BREVET --- DROIT DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE
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Peut-on préférer le droit des marques au droit d’auteur pour une bonne raison ? La liberté artistique permet-elle d’utiliser des marques ? Peut-on cumuler les deux pour augmenter la durée de protection ? Dans un monde où les droits intellectuels se multiplient et étendent sans cesse leur champ d’application, les situations de cumul sont devenues une pratique courante. La tentation de protéger son oeuvre est devenue aussi grande que celle de l’exploiter. Ainsi, droit d’auteur et droit des marques peuvent se rencontrer tout comme ils peuvent s’opposer. Dans ce travail nous allons voir que ces deux droits se regroupent parfois sur un même objet, nous verrons les hypothèses dans lesquelles le droit d’auteur influe sur le dépôt d’une marque ainsi que la conséquence d’une marque dans une oeuvre. Nous verrons comment le titulaire de l’un peut s’opposer à l’autre et analyserons les différents obstacles à la validité d’une marque avec des exemples concrets. Cumuls ou simples rencontres, influences ou oppositions, l’objectif de ce travail sera de passer en revue toute les situations où une interaction existe entre le droit d’auteur et le droit des marques.
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DROIT DES MARQUES --- DROIT DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE --- DECISION MICROSOFT --- LOGICIELS --- PROGRAMMES D'ORDINATEURS --- CONCURRENCE DELOYALE --- droit des marques --- concurrence deloyale --- droit de la propriete intellectuelle --- decision microsoft --- logiciels --- programmes d'ordinateurs
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Commerce électronique --- Droit d'auteur --- Médiation --- Cybersquatting --- Droit des marques --- Nom de domaine --- Responsabilite civile --- Noms de domaine (Internet)
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PROGRAMMES D'ORDINATEURS --- LOGICIELS --- PROGRAMMES D'ORDINATEURS --- DROITS D'AUTEUR --- BREVET --- DROIT DES MARQUES --- PROTECTION --- SECRETS DE FABRICATION
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PROPRIETE INDUSTRIELLE --- DROIT INDUSTRIEL --- DROIT DES MARQUES --- NOM DE DOMAINE --- DROIT COMMERCIAL --- BREVET --- DROIT ANGLO-SAXON --- Noms de domaine (Internet)
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Ces dernières années, les entreprises se sont montrées de plus en plus inventives quant aux stratégies marketing qu’elles emploient afin, notamment, de concurrencer les commerces électroniques. Dans ce cadre est né le marketing olfactif et, avec lui, la problématique de la protection des marques olfactives qui en découle. Pendant longtemps, le dépôt de ce type de marques au sein de l’Union européenne n’était pas admis. Effectivement, bien qu’il ne soit pas explicitement prohibé par la législation européenne, l’exigence de représentation graphique et l’interprétation de cette dernière par la Cour de justice de l’Union européenne rendait de facto l’enregistrement de ces marques impossible. Ainsi, les alternatives les plus évidentes pour les représenter, telles que la description littérale de la fragrance ou l’inscription de la formule chimique du parfum dans les registres, ont été jugées comme ne constituant pas une représentation graphique. Toutefois, le législateur européen a adopté, en 2015, une réforme, appelée « paquet marque », qui pourrait avoir des conséquences positives dans ce domaine. En effet, l’exigence de représentation graphique n’est plus présente. Cependant, le signe susceptible de représenter une marque doit, selon la directive 2015/2436/UE, être représenté d’une manière claire, précise, distincte, facilement accessible, intelligible, durable et objective, et ce pour répondre, en autres, à l’impératif de sécurité juridique. C’est dans ce contexte que s’inscrivent nos recherches. Par le biais de ce travail, nous tenterons de savoir si l’élimination de cet obstacle permettra le dépôt d’odeurs en tant que marques ou si d’autres difficultés s’y opposeront encore. Pour ce faire, nous nous intéresserons spécialement à la situation aux Etats-Unis, pays qui semble être plus avancé que nous dans ce domaine puisque la première marque olfactive a été enregistrée avec succès en 1990.
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Constituée d’un signe figuratif à trois dimensions, la marque tridimensionnelle offre des perspectives stratégiques nouvelles aux entreprises. En effet, le titulaire d’une telle marque bénéficie d’un ensemble de droits exclusifs sur l’emballage et la forme de ses produits, cette protection étant renouvelable indéfiniment pour autant que son bénéficiaire en fasse usage . Cependant, l’enregistrement de cette marque non-traditionnelle soulève de nombreuses difficultés. En effet, les conditions de validité de la marque de forme sont examinées de manière très stricte afin d’éviter que le droit des marques ne soit utilisé pour perpétuer, de manière illimitée, d’autres droits, tels que le droit des brevets, qui sont soumis à des délais de péremption. Ce travail a pour objet d’analyser les différents obstacles auxquels peuvent se heurter les déposants d’une marque tridimensionnelle. Afin de les identifier, nous allons particulièrement nous intéresser au caractère distinctif d’une telle marque ainsi qu’aux motifs d’exclusion propres à cette dernière. De plus, au cours de cette analyse, nous effectuerons également une comparaison avec d’autres types de protection qu’offre le droit de la propriété intellectuelle, à savoir le droit des brevets, le droit d’auteur ainsi que le droit des dessins et modèles.
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DROITS D'AUTEUR --- DROITS D'AUTEUR --- DROITS D'AUTEUR --- RESPECT DE LA VIE PRIVEE --- DONNEES PERSONNELLES --- BANQUES DE DONNEES --- BASES DE DONNEES --- DROIT DES MARQUES --- REPRODUCTION --- EXPLOITATION --- EDITION --- PROTECTION --- PROTECTION --- CONCURRENCE DELOYALE
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